tag:blogger.com,1999:blog-7694174024387358473.post7365256051812311652..comments2022-03-30T23:05:51.562-07:00Comments on Blog du cinéphile attardé: La Route de la violence (Jonathan Kaplan, 1975)Nikonhttp://www.blogger.com/profile/07959925201603386378noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-7694174024387358473.post-59959304228795902522015-01-20T12:00:00.613-08:002015-01-20T12:00:00.613-08:00Oui, c'est un film très difficile à appréhende...Oui, c'est un film très difficile à appréhender comme tous les Monte Hellman (paradoxalement, j'ai des amis pas cinéphiles pour un sou qui aiment beaucoup). Les personnages n'ont pas de but, pas d'identité (ou trop, comme GTO qui s'invente une vie différente à chaque auto-stoppeur), pas de personnalité... C'est une manière de dégraisser un genre à l'extrême, de le vider de tous ses archétypes, au risque de provoquer un ennui immense si on est rétif à la démarche. Point limite zéro me semble plus accessible, quand même.Nikonhttps://www.blogger.com/profile/07959925201603386378noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7694174024387358473.post-35247567498465239562015-01-19T00:57:40.870-08:002015-01-19T00:57:40.870-08:00J'ai vu Macadam à deux voies il y a une semain...J'ai vu Macadam à deux voies il y a une semaine. C'est.... spécial. J'aime bien, mais faut savoir dans quoi on s'embarque, parce que des mecs qui parlent que de mécanique et qui vont nulle part pendant 1h30, c'est assez space.<br /> Mention spéciale pour Warren Oates et ses pulls en cashmere qui changent de couleur à chaque scène (?). Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/01491785249254626724noreply@blogger.com